Fondation ou association : laquelle choisir pour votre projet ?
Agilité - Innovation - Réglementation - Solution connectée - Stratégie
Par
Ophélie Le Grand
Lorsque l’on souhaite lancer un projet à but non lucratif, d’intérêt général ou collectif, deux formes juridiques se distinguent particulièrement en France : la fondation et l’association. Chacune possède ses propres caractéristiques, ses avantages et ses contraintes. Choisir la bonne structure est donc essentiel pour assurer la pérennité et la réussite de votre initiative.
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Cet article a pour vocation de vous aider à comprendre les différences entre une fondation et une association, tant sur le plan juridique que sur le plan fonctionnel, tout en vous donnant des repères concrets pour faire un choix éclairé. Nous verrons également comment les solutions CRM d’Eudonet peuvent optimiser la gestion et le développement de ces entités.
Définition : fondation et association
Pour bien comprendre les spécificités de chaque structure, il convient de définir précisément ce qu’est une association et ce qu’est une fondation. Cette première étape est indispensable pour appréhender leurs principaux axes de différenciation et identifier la forme juridique la plus adaptée à votre projet.
Qu’est-ce qu’une association ?
En France, une association est un groupement de personnes (physiques ou morales) qui décident de mettre en commun leurs connaissances ou leurs activités dans un but autre que le partage de bénéfices. Le cadre juridique de l’association est principalement régi par la Loi du 1er juillet 1901, ce qui explique l’appellation courante de « loi 1901 ».
L’objectif principal d’une association est de poursuivre la promotion d’une cause ou la réalisation d’un projet culturel, sportif, humanitaire ou scientifique. Elle bénéficie d’une grande flexibilité grâce à un régime juridique relativement souple, qui facilite son fonctionnement avec un budget modeste, le recours à des bénévoles et la mise en place d’activités variables en fonction des ressources disponibles. Prenons un exemple concret : une association comme Imagine For Margo organise des courses “Enfants sans Cancer” au Domaine national de Saint-Cloud ou au cœur de La Défense. Chaque participant collecte ainsi des fonds, en faisant appel à des donateurs, pour valider son inscription et sensibiliser aux cancers pédiatriques. 100% des dons sont ensuite affectés à la recherche.
En matière de gouvernance, une association s’appuie généralement sur une assemblée générale composée des membres, éventuellement complétée par un conseil d’administration et un bureau (président, trésorier, secrétaire). L’assemblée générale représente un moment clé de la vie associative, car elle décide des orientations stratégiques, approuve les comptes et les budgets, et valide les principales décisions de l’organisation. Pour approfondir le sujet, vous pouvez consulter notre article sur l’Assemblée Générale d’association.
Qu’est-ce qu’une fondation ?
Une fondation est une personne morale de droit privé à but non lucratif, créée par une ou plusieurs personnes (physiques ou morales) qui affectent de manière irrévocable un patrimoine, des biens ou des ressources à la réalisation d’une œuvre d’intérêt général. Ce transfert de ressources constitue la dotation de la fondation et doit servir exclusivement la mission définie dans les statuts. Par exemple, un philanthrope désireux de soutenir la recherche contre le cancer crée une fondation en investissant une partie de son patrimoine financier. Les revenus générés par ce capital sont ensuite utilisés pour accorder des bourses, des subventions ou financer directement des laboratoires de recherche.
La fondation bénéficie d’un cadre juridique défini par la Loi du 23 juillet 1987 sur le développement du mécénat. Contrairement à l’association, elle met l’accent sur la pérennité de ses actions, cherchant ainsi à avoir un impact durable dans des domaines variés comme la recherche médicale, l’éducation, l’environnement ou encore la culture.
Sa création repose sur une dotation initiale, généralement conséquente, constituée d’une somme d’argent ou d’un ensemble de biens, qui garantit la viabilité économique de la mission fixée. Étant par nature à but non lucratif, tous les bénéfices potentiels tirés de l’exploitation de cette dotation ou d’activités connexes doivent être intégralement réinvestis dans la réalisation de l’objet statutaire.
Pour en savoir plus sur la gestion et les solutions adaptées à votre projet, découvrez le CRM Fondation d’Eudonet, qui permet notamment d’optimiser la collecte de dons et la gestion des donateurs.
Différences clés entre fondation et association
Si la fondation et l’association partagent la finalité de servir un intérêt général ou collectif, elles se distinguent toutefois sur de nombreux points. Comparons donc leurs statuts, leurs objectifs et leurs ressources afin de clarifier les situations dans lesquelles l’une ou l’autre s’avère préférable.
Statut juridique et gouvernance
Commençons par l’association :
Statut : l’association constitue une entité relevant de la loi 1901, dont l’enregistrement en préfecture lui confère la personnalité morale.
Gouvernance : elle repose généralement sur l’assemblée générale des membres, qui constitue l’organe souverain, complété par un conseil d’administration ou un bureau.
Exigences légales : les obligations légales, qu’il s’agisse de la comptabilité ou de la tenue d’assemblées générales, demeurent relativement peu contraignantes tant que l’association n’emploie pas de salariés et ne bénéficie pas de financements publics considérables.
Du côté de la fondation :
Statut : il s’agit d’une personne morale de droit privé, créée par un acte unilatéral ou par plusieurs fondateurs. Elle peut demander la reconnaissance d’utilité publique, ce qui suppose un décret en Conseil d’État.
Gouvernance : elle repose sur un conseil d’administration, composé de représentants de l’État, de fondateurs et parfois de personnalités qualifiées, garantissant une gestion rigoureuse.
Exigences légales : elles sont plus élevées, avec des procédures de création et de contrôle plus complexes qui incluent notamment la dotation initiale et un contrôle par l’autorité administrative.
Par ailleurs, la gestion des données personnelles (donateurs, adhérents, bénévoles) impose de se conformer au Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD). Découvrez les obligations en matière de RGPD et association ou de fondation afin de sécuriser les fichiers et respecter la confidentialité des parties prenantes.
Objectif et mission
D’une part, l’association peut avoir un objet très varié (culture, sport, social, environnement…) et peut également évoluer dans le temps selon la volonté des membres. Elle se prête ainsi bien à des projets à court ou moyen terme, ainsi qu’aux initiatives locales ou régionales.
D’autre part, l’objectif d’une fondation est souvent stable et durable. Elle répond à une cause d’intérêt général (par exemple la santé, la recherche, l’éducation), en finançant ou en mettant en œuvre des programmes sur le long terme.
Comprenez donc ici que l’association est idéale pour des projets évolutifs, ancrés dans un collectif, tandis que la fondation convient davantage à des engagements financiers importants, ancrés dans le temps.
Ressources et financements
Dans le cas d’une association, les ressources proviennent généralement des cotisations des adhérents, de dons association loi 1901 (en nature ou en espèces), de subventions publiques émanant de l’État, des collectivités locales ou de l’Europe, ainsi que de recettes issues d’activités économiques accessoires telles que la vente de produits ou l’organisation d’événements.
Pour une fondation, la principale source de financement repose sur une dotation initiale irrévocable, qu’il s’agisse de fonds, de biens ou de valeurs mobilières. Elle peut également recevoir des dons et des legs, assortis d’avantages fiscaux sous certaines conditions, et générer des revenus à travers des placements financiers si une partie de la dotation est investie. Les subventions publiques et le mécénat privé (d’entreprises ou de particuliers) complètent enfin ces modes de financement.
La fondation mise donc avant tout sur un capital de départ conçu pour assurer des ressources à long terme, tandis que l’association s’appuie davantage sur un flux continu de subventions, de dons et de cotisations.
Types d’associations et fondations
Il existe plusieurs « catégories » ou « variantes » d’associations et de fondations en France. En tant que porteur de projet, vous devez donc vous informer sur les caractéristiques de chacune pour sélectionner la structure la plus adaptée à vos besoins, aux ressources disponibles et à vos ambitions.
Les différents types d’associations
- Association déclarée : c’est la forme la plus courante (loi 1901). Elle acquiert la personnalité juridique après déclaration en préfecture. De cette manière, elle peut recevoir des subventions, ester en justice, ou encore ouvrir un compte bancaire etc…
- Association reconnue d’utilité publique (ARUP) : pour être reconnue d’utilité publique, une association doit répondre à des critères stricts comme la dimension nationale, la solidité financière et l’intérêt général. Elle bénéficie de prérogatives accrues, comme la possibilité de recevoir des legs, des donations, mais aussi d’exonérations fiscales supplémentaires. Toutefois, la procédure d’obtention de la reconnaissance d’utilité publique est longue et nécessite un décret en Conseil d’État.
- Association agréée : l’agrément est délivré par une administration spécifique, comme le ministère des Sports pour une fédération sportive par exemple, et confère ainsi une légitimité supplémentaire. Ce statut peut faciliter l’obtention de financements publics ou privés.
- Association professionnelle : il s’agit-là d’un regroupement de professionnels (entreprises, artisans, commerçants…) qui se fixent des objectifs communs comme la défense de leurs intérêts ou la promotion d’une filière. Eudonet propose d’ailleurs un CRM spécialement dédié aux Associations Professionnelles et à leurs besoins.
Les différents types de fondations
- Fondation reconnue d’utilité publique (FRUP) : c’est la forme la plus prestigieuse. Elle fait l’objet d’un décret en Conseil d’État et doit justifier d’un patrimoine suffisant pour garantir la poursuite d’un objectif d’intérêt général. D’autre part, un contrôle étatique veille au respect de la mission, à la gestion financière et à la gouvernance.
- Fondation d’entreprise : elle est créée par une ou plusieurs sociétés pour réaliser des actions de mécénat (culture, environnement, solidarité…). La dotation de départ est moins élevée qu’une fondation reconnue d’utilité publique, mais l’action reste limitée dans le temps (souvent 5 ans renouvelables).
- Fonds de dotation : il s’agit d’une structure juridique récente (loi du 4 août 2008) permettant de recevoir et de gérer des biens et des ressources pour un objet d’intérêt général. Les fonds de dotation sont plus simples à constituer qu’une fondation reconnue d’utilité publique, mais bénéficient d’une crédibilité moindre.
Dans tous les cas, le choix du type de fondation dépend de la nature du projet, des ressources disponibles et du degré de contrôle souhaité par les fondateurs.
Création et formalités administratives
Que vous optiez pour une association ou une fondation, la phase de création nécessite de respecter certaines étapes clés, allant de la rédaction des statuts à la demande de reconnaissance d’utilité publique pour les structures les plus ambitieuses.
Créer une association
Pour créer une association, la première étape consiste à rédiger les statuts, en y indiquant le nom, l’objet, le siège social, les modalités de fonctionnement (assemblée générale, conseil d’administration, bureau…) et la durée.
Une fois les statuts finalisés, l’association doit être déclarée auprès de la préfecture ou de la sous-préfecture dont dépend son siège social. Après validation de la préfecture, l’annonce de la création est publiée au Journal Officiel des Associations et Fondations d’Entreprise (JOAFE).
Les membres fondateurs se réunissent ensuite pour la première Assemblée Générale, au cours de laquelle ils approuvent les statuts et procèdent à l’élection du bureau. Le tout étant retracé de manière détaillée et fidèle dans le PV d’Assemblée Générale d’Association.
Ces formalités, qui restent relativement simples, confèrent à l’association sa personnalité morale et sa capacité juridique. Il convient néanmoins de respecter les obligations comptables et déclaratives si vous prévoyez de solliciter des financements publics ou d’employer des salariés.
Créer une fondation
La création d’une fondation nécessite d’abord la constitution d’une dotation initiale, qu’il s’agisse de capitaux numéraires, de titres ou de biens. Le ou les fondateurs doivent donc constituer un capital de départ, avec un montant minimal imposé par la loi et variant selon le type de fondation.
Pour accéder à la reconnaissance d’utilité publique, il faut ensuite déposer un dossier complet auprès du ministère de l’Intérieur (ou parfois d’un autre ministère compétent). Le Conseil d’État est ensuite saisi pour valider ou non la demande. En cas d’acceptation, un décret vient formaliser cette reconnaissance. Dans le cas d’une fondation d’entreprise ou d’un fonds de dotation, l’acte de création est validé par arrêté préfectoral.
Par la suite, un conseil d’administration est instauré pour veiller au respect de l’objet statutaire, à la gestion rigoureuse du patrimoine et au bon usage des fonds, avec des comptes soumis à des obligations de transparence renforcées.
Ces démarches sont plus longues et plus coûteuses que pour une association, mais elles garantissent une crédibilité importante et un accès facilité à des soutiens financiers d’envergure.
Avantages et limites
Pour vous aider à prendre une décision éclairée, synthétisons dans cette partie les principaux avantages et inconvénients de chaque structure. Gardez en tête qu’il n’existe pas de solution unique : tout dépendra de l’ampleur de votre projet, de vos ressources et de vos objectifs à long terme.
Pourquoi choisir une association ?
Parmi les avantages de sa structure, l’association se distingue d’abord par sa grande flexibilité : elle peut être créée avec un minimum de formalités et fonctionne de manière relativement souple, notamment grâce à un petit budget, au bénévolat et à l’évolution constante de ses activités en fonction des ressources disponibles. Aussi, son coût de création reste peu élevé, car les démarches administratives sont moins onéreuses, ce qui la rend accessible à tous. Elle offre également un cadre collaboratif idéal pour des projets menés par un collectif d’individus partageant la même passion ou la même cause.
De plus, de nombreuses solutions numériques lui permettent d’optimiser sa gestion. L’avantage d’un logiciel tout en un pour association ? Faciliter le suivi des adhérents, des cotisations et de la communication, sans nécessiter un budget conséquent.
En revanche, l’association ne bénéficie pas toujours de la même reconnaissance officielle qu’une fondation reconnue d’utilité publique. Ses ressources financières restent limitées, car elles dépendent souvent de la réputation de la structure et de l’objet qu’elle poursuit, ce qui rend les dons et subventions plus incertains. Enfin, l’absence de dotation initiale pérenne implique, elle aussi, une sécurité de financement moindre à long terme.
Pourquoi opter pour une fondation ?
Opter pour une fondation, en particulier lorsqu’elle est reconnue d’utilité publique, procure un fort degré de crédibilité et de prestige. Elle jouit donc d’une réputation solide auprès des bailleurs de fonds, des entreprises et de l’administration.
En effet, la dotation initiale permet de mener des actions qui s’inscrivent dans la durée, à l’abri des fluctuations liées aux subventions ou aux dons ponctuels, tout en offrant aux mécènes la perspective de réductions d’impôts attrayantes, en fonction du statut de la fondation.
Malgré ces avantages, la création d’une fondation reste toutefois plus onéreuse que celle d’une association, car le capital de départ doit être conséquent et les formalités administratives sont plus complexes. De surcroît, les comptes et la gouvernance font l’objet d’un contrôle très strict, entraînant parfois des délais de mise en place plus longs que prévu.
Comment Eudonet accompagne fondations et associations
Pour gérer efficacement vos adhérents, donateurs, bénévoles et toutes les interactions liées à votre projet, un logiciel CRM (Customer Relationship Management) peut faire toute la différence. Eudonet propose des solutions CRM spécialement conçues pour les structures associatives et les fondations, afin de faciliter la gestion quotidienne et de soutenir le développement à long terme.
Optimisation de la collecte de dons
Les associations et fondations dépendent souvent sur la générosité des donateurs et mécènes pour financer leurs projets. Avec la solution CRM d’Eudonet, vous pouvez centraliser toutes les informations concernant vos contributeurs, de quoi faciliter les relances et personnaliser vos campagnes de dons.
Vous avez également la possibilité de segmenter vos donateurs (réguliers, occasionnels, grands donateurs ou mécènes…) afin d’ajuster précisément votre stratégie de communication. Le CRM vous permet en outre d’analyser l’efficacité de chaque campagne, de suivre les montants récoltés et de calculer le retour sur investissement.
Pour en savoir plus, vous pouvez également explorer différentes bonnes pratiques dans notre article Comment récolter des fonds pour une association ?
Recrutement et fidélisation des adhérents
Pour une association, recruter et fidéliser des adhérents est un enjeu essentiel pour concrétiser ses objectifs, tandis que, pour une fondation, il s’agit surtout de rassembler un vaste réseau de soutiens autour de la cause défendue.
Grâce au CRM, la gestion des adhésions devient plus fluide, qu’il s’agisse d’examiner les demandes, de renouveler les cotisations ou de suivre l’évolution de la participation de chacun. Le même outil permet d’adresser des communications ciblées, notamment des newsletters, des invitations à des événements ou des bilans d’activité, en tenant compte des centres d’intérêt de vos adhérents.
Vous pouvez par ailleurs analyser le cycle de vie de chaque membre afin de repérer le moment où l’engagement faiblit et prévoir une relance adaptée. Pour approfondir le sujet, vous trouverez des conseils pratiques dans notre article Comment attirer des adhérents dans une association ?
Gestion des bénévoles
Les bénévoles constituent la force vive de nombreuses structures non lucratives. Leur engagement, leur motivation et leur disponibilité influencent directement la portée et la réussite des actions menées. Grâce à un CRM, vous pouvez recenser les compétences clés de chacun (logistique, communication, animation…) et ainsi répartir les missions de manière efficace.
Il devient également plus simple d’organiser les plannings, qu’il s’agisse d’événements ponctuels ou de campagnes plus longues, tout en assurant un suivi régulier du niveau d’implication de chaque bénévole. Connaître le nombre d’heures investies et la fréquence de participation vous permet de valoriser leur engagement et de les remercier à juste titre. Pour aller plus loin, découvrez nos conseils sur comment recruter des bénévoles dans une association et optimiser leur contribution.
Automatisation des tâches administratives
Grâce à une solution CRM telle que celle proposée par Eudonet, bon nombre de tâches répétitives peuvent être automatisées. La gestion des adhésions devient plus fluide, avec la génération automatique de documents (bulletin d’adhésion, reçus de cotisation…) et le suivi des paiements, assorti de relances en cas de retard.
Il devient également très simple d’envoyer massivement des documents, que ce soit pour convier à l’assemblée générale, adresser une newsletter ou faire parvenir une convocation. En outre, tous les échanges (courriels, courriers, SMS…) sont centralisés et stockés de façon sécurisée, offrant ainsi une traçabilité complète.
Pour encore plus d’efficacité dans vos démarches administratives, vous pouvez consulter et télécharger notre modèle gratuit de bulletin d’adhésion pour association et l’intégrer sans difficulté au CRM.
Suivi et reporting des actions menées
La bonne gouvernance repose avant tout sur l’établissement de bilans et de rapports clairs, qui permettent d’évaluer l’efficacité des actions menées. Grâce à un CRM, vous pouvez collecter en temps réel les principaux indicateurs, tels que le montant des dons, le nombre d’adhérents ou le degré de mobilisation des bénévoles, et générer automatiquement des comptes-rendus financiers, des bilans d’activité ou encore un rapport moral d’association pour les présenter à l’assemblée générale ordinaire et aux autres parties prenantes. Cette approche favorise non seulement la transparence, mais renforce également la confiance des adhérents et des donateurs, et facilite l’obtention de subventions ou de financements.
Conformité avec la règlementation RGPD
Le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) oblige les associations et les fondations à garantir la confidentialité des informations relatives à leurs adhérents, donateurs et bénévoles. Avec l’outil CRM d’Eudonet, la sécurité des bases de données est assurée grâce à une traçabilité complète des accès et au chiffrement des données sensibles.
Il est également possible de collecter et d’enregistrer les consentements explicites de chaque individu quant à l’utilisation de leurs informations personnelles, tout en répondant efficacement aux demandes de modification ou de suppression de ces données.
Conclusion
En définitive, le choix entre une association et une fondation dépend étroitement de la nature du projet, de la volonté des fondateurs de consacrer (ou non) un patrimoine important à une cause, ainsi que des moyens financiers et humains disponibles. L’association apparaît comme la structure la plus simple à mettre en place, idéale pour les projets collectifs, les actions locales ou la recherche de subventions ponctuelles. À l’inverse, la fondation s’avère un véhicule de philanthropie privilégié lorsque la volonté est d’inscrire une action dans la durée et de fédérer des soutiens financiers importants autour d’une cause d’intérêt général.
Dans tous les cas, la gestion et le pilotage de ces structures gagnent à s’appuyer sur des outils performants comme la solution CRM d’Eudonet, qui facilite la collecte de dons, la mobilisation des bénévoles, le suivi de l’adhésion, l’automatisation des tâches administratives, la génération de rapports et la conformité au RGPD. Cette approche globale permet de consacrer davantage de temps et de ressources à la réalisation de la mission de l’organisation, qu’elle soit associative ou fondatrice.
Vous êtes une association, fondation ou ONG ? Vous souhaitez faciliter vos processus, automatiser vos tâches répétitives et accorder plus de temps à votre cœur de métier ? Explorez les solutions proposées par Eudonet CRM et assurez à votre organisme un succès durable.
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